Une chirurgie tourne au drame
Une érection pendant 8 mois
Première publication 12 juin 2013 à 22h44
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Crédit photo : archives TVA Nouvelles
TVA Nouvelles
Une chirurgie s'est révélée être un calvaire pour un camionneur de 44 ans qui s'est retrouvé avec une érection constante pendant huit mois!
Le site américain Daily News rapporte que Daniel Metzgar s'est fait poser un implant dans le pénis, mais que ce dernier était défectueux. Du coup, il poursuit son chirurgien.
La première opération s'est faite en 2009 par l'urologue Dr Thomas J. Desperito. C'est à ce moment qu'on a placé l'implant gonflable qui consiste en trois parties: des cylindres placés à l'intérieur du pénis, un réservoir à fluides implanté sous la cloison abdominale et une pompe placée dans le scrotum.
Après la chirurgie, ses testicules seraient devenus aussi gros qu'un ballon de volleyball, a-t-il dit.
«Je pouvais difficilement danser sans que mon érection ne vienne cogner ma partenaire», a dit Daniel devant les jurés. Il a été forcé de changer son mode de vie et son habillement.
Ce n'est qu'après quatre mois qu'il est retourné voir son chirurgien. Celui-ci lui aurait dit qu'il fallait enlever la prothèse, mais Metzgar aurait refusé.
Il aura fallu attendre l'explosion de l'implant, quatre autres mois plus tard, avant que l'homme finisse par se faire réopérer.
Le site américain Daily News rapporte que Daniel Metzgar s'est fait poser un implant dans le pénis, mais que ce dernier était défectueux. Du coup, il poursuit son chirurgien.
La première opération s'est faite en 2009 par l'urologue Dr Thomas J. Desperito. C'est à ce moment qu'on a placé l'implant gonflable qui consiste en trois parties: des cylindres placés à l'intérieur du pénis, un réservoir à fluides implanté sous la cloison abdominale et une pompe placée dans le scrotum.
Après la chirurgie, ses testicules seraient devenus aussi gros qu'un ballon de volleyball, a-t-il dit.
«Je pouvais difficilement danser sans que mon érection ne vienne cogner ma partenaire», a dit Daniel devant les jurés. Il a été forcé de changer son mode de vie et son habillement.
Ce n'est qu'après quatre mois qu'il est retourné voir son chirurgien. Celui-ci lui aurait dit qu'il fallait enlever la prothèse, mais Metzgar aurait refusé.
Il aura fallu attendre l'explosion de l'implant, quatre autres mois plus tard, avant que l'homme finisse par se faire réopérer.
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