Surveillance des communications
50 actes terroristes potentiels déjoués depuis 2001
Première publication 18 juin 2013 à 18h26
TVA Nouvelles d'après AFP
Au centre d'une importante tourmente médiatique sur la surveillance des communications en sol américain, le chef de l'Agence de sécurité nationale (NSA), Keith Alexander est venu vanter son programme devant les élus de la commission du Renseignement de la Chambre des représentants.
Il a affirmé que «plus de 50 actes terroristes potentiels» avaient été déjoués depuis les attentats du 11 septembre .
«Ces programmes sont extrêmement précieux pour protéger notre nation et assurer la sécurité de nos alliés»,a insisté le général.
Selon lui, au cours des dernières années, les informations recueillies à partir de ces programmes ont permis de prévenir plus d'une cinquantaine d'attaques terroristes potentielles dans plus de 20 pays.
Il a également ajouté qu'au moins une dizaine de ces actes concernaient des menaces sur le sol américain.
Cette audition du chef de la NSA survient quelques semaines après les fracassantes révélations de la taupe Edward Snowden. Cet ancien agent de la CIA et ex-consultant de la NSA a mis au jour les programmes de surveillance des communications.
Au centre de la controverse, le patron de l'Agence a tenté tant bien que mal de défendre son programme controversé au sein de la population.
Il a assuré aux élus qu'il leur fournirait des informations concernant les incidents qui ont pu être déjoués depuis les attentats du 11 septembre 2001.
«On parle de plus de 50 affaires», a martelé Alexander qui a même affirmé que les détails de quatre incidents seraient rendus publics. On aurait notamment évité des attaques visant la Bourse et le métro de New York.
Le général Alexander a conclu sa plaidoirie en rappelant que ces programmes restaient sous le contrôle des tribunaux et du congrès.
«Je pense que nous avons atteint un niveau de sécurité (...) qui ne remet pas en cause la vie privée et les libertés civiles de nos citoyens», a-t-il estimé.
Il a affirmé que «plus de 50 actes terroristes potentiels» avaient été déjoués depuis les attentats du 11 septembre .
«Ces programmes sont extrêmement précieux pour protéger notre nation et assurer la sécurité de nos alliés»,a insisté le général.
Selon lui, au cours des dernières années, les informations recueillies à partir de ces programmes ont permis de prévenir plus d'une cinquantaine d'attaques terroristes potentielles dans plus de 20 pays.
Il a également ajouté qu'au moins une dizaine de ces actes concernaient des menaces sur le sol américain.
Cette audition du chef de la NSA survient quelques semaines après les fracassantes révélations de la taupe Edward Snowden. Cet ancien agent de la CIA et ex-consultant de la NSA a mis au jour les programmes de surveillance des communications.
Au centre de la controverse, le patron de l'Agence a tenté tant bien que mal de défendre son programme controversé au sein de la population.
Il a assuré aux élus qu'il leur fournirait des informations concernant les incidents qui ont pu être déjoués depuis les attentats du 11 septembre 2001.
«On parle de plus de 50 affaires», a martelé Alexander qui a même affirmé que les détails de quatre incidents seraient rendus publics. On aurait notamment évité des attaques visant la Bourse et le métro de New York.
Le général Alexander a conclu sa plaidoirie en rappelant que ces programmes restaient sous le contrôle des tribunaux et du congrès.
«Je pense que nous avons atteint un niveau de sécurité (...) qui ne remet pas en cause la vie privée et les libertés civiles de nos citoyens», a-t-il estimé.
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