mercredi 6 mars 2013

Vidéo sur YouTube

Russell Crowe photographie un ovni

Première publication 6 mars 2013 à 20h25
Russell Crowe photographie un ovni
Crédit photo : capture d'écran, YouTube
Agence QMI
L'acteur Russell Crowe, récemment au-devant de la scène pour son rôle dans Les misérables, croit avoir accidentellement filmé des «objets volants non identifiés» alors qu'il se trouvait en Australie.
Il a mis une vidéo en ligne sur YouTube où défilent trois photos qu'il a prises avec un ami au Jardin botanique de Sydney.
«OVNI? Ces photos en accéléré sont réelles!», peut-on lire au bas de la vidéo avant de voir un objet lumineux rouge se déplacer latéralement sur les trois images prises dans un délai de 4,5 secondes.
«Un ami et moi avions installé une caméra pour photographier des chauves-souris au-dessus du Jardin botanique, mais ça, ce fut une gosse surprise», a publié Russel Crowe sur son compte Twitter.
Plusieurs internautes ont mis en doute l'authenticité des images, estimant qu'il devait s'agir d'un simple reflet - puisque l'acteur se trouvait à l'intérieur d'un bureau - ou d'un avion. Mais Crowe est catégorique : «c'est impossible».


http://tvanouvelles.ca/lcn/lebuzz/archives/2013/03/20130306-202509.html

mardi 5 mars 2013

Découverte

Un chameau dans l'Arctique canadien

Première publication 5 mars 2013 à 15h22
Un chameau dans l'Arctique canadien
Crédit photo : Gracieuseté du Musée canadien de la nature
Agence QMI
Une équipe de chercheurs canadiens a découvert les restes d'un chameau géant qui vivait il y a au moins 3,4 millions d'années dans la partie canadienne de l'Extrême-Arctique.
Les températures oscillaient à l'époque entre 14 degrés et 22 degrés dans l'Arctique.
Trente fragments d'os fossile provenant d'une patte ont été déterrés sur l'île d'Ellesmere, a annoncé mardi le Musée canadien de la nature.
«Il s'agit d'une importante découverte, car elle fournit, pour la première fois, la preuve que des chameaux vivaient dans l'Extrême-Arctique, a expliqué Natalia Rybczynski, paléontologue des vertébrés au Musée. Cela fait avancer de quelque 1200 km vers le nord l'aire de répartition connue des chameaux en Amérique du Nord et incite à penser que la lignée qui a donné naissance aux chameaux modernes a pu, à l'origine, être adaptée à un environnement forestier arctique.»

(Gracieuseté du Musée canadien de la nature)
Le chameau de l'Extrême-Arctique serait assez proche des chameaux modernes, notamment du dromadaire, et de son probable ancêtre, le chameau géant du Yukon.
«Nous disposons maintenant de nouveaux fossiles nous permettant de mieux comprendre l'évolution des chameaux», a dit Natalia Rybczynski, qui croit que les chameaux sont originaires d'Amérique du Nord.
«Certains traits caractéristiques des chameaux modernes, comme des pieds larges et plats, de gros yeux et une bosse de graisse, sont peut-être des traits adaptatifs acquis dans un environnement polaire», a-t-elle indiqué.
Les os du chameau de l'Extrême-Arctique seront conservés au nom du gouvernement du Nunavut dans l'édifice des collections et de la recherche du Musée canadien de la nature, à Gatineau, au Québec

http://tvanouvelles.ca/lcn/lebuzz/archives/2013/03/20130305-152228.html
Des plages interdites à la baignade dans le sud-ouest
Crédit photo : Martine Daigle, Fort Myers, MonTopo
Cindy Royer, TVA Nouvelles
Marée rouge en Floride
Des plages interdites à la baignade dans le sud-ouest
Alors que s'amorce la semaine de relâche et que de nombreux vacanciers prennent le chemin de la Floride, une éclosion d'algues toxiques préoccupe les résidents de Fort Myers Beach.
La marée rouge a tué des milliers de poissons qui se retrouvent le long des berges sur la plage sur une dizaine de kilomètres. Les autorités affirment qu'il faut éviter d'entrer en contact avec ces poissons en raison du risque d'infection potentiel.
La couleur de l'eau est anormalement brune dû aux algues et micro-organismes. (Martine Daigle, Fort Myers, MonTopo)
Il est interdit de se baigner dans plusieurs secteurs de la plage et des croisières ont été annulées. Des employés municipaux armés de pelles et de camions s'affairent à nettoyer les vestiges du passage de la marée toxique.
De quoi semer l'inquiétude chez les habitués du secteur. Martine Daigle, une résidente de Laval séjourne à Sanibel tous les ans. «C'est exceptionnel, je n'ai jamais tant vue de poissons morts sur les plages! Et l'eau est anormalement brune.»
(Martine Daigle, Fort Myers, MonTopo)
(Martine Daigle, Fort Myers, MonTopo)
Même son de cloche pour une autre Québécoise sur place. «On voyait les carcasses de poissons, et des gros poissons comme des raies, et on se demandait ce qui se passait» nous dit Céline Clément qui réside à Fort Myers Beach six mois par an.
Émilien Pelletier, le professeur en océanographie de l'Université du Québec à Rimouski (UQAR) se fait rassurant: «C'est très fréquent dans les eaux tropicales. On peut comparer cet épisode à une floraison printanière. C'est-à-dire que lorsque toutes les conditions sont réunies (météo, courant...) les microalgues prolifèrent», a-t-il expliqué à MonTopo.
(Martine Daigle, Fort Myers, MonTopo)
Selon lui, il n'y a pas de liens à faire entre cette marée toxique et l'accident survenu sur la plateforme pétrolière Deepwater Horizon, exploitée par BP dans le golf du Mexique en 2010.
- Avec Claudia Néron

http://tvanouvelles.ca/lcn/montopo/video/archives/2013/03/20130301-174251.html