jeudi 28 février 2013

Stores horizontaux (vénitiens) en similibois et en bois fabriqués par Brite Blinds
Date de début :
28 février 2013
Date d’affichage :
28 février 2013
Type de communication :
Rappel de produits de consommation
Sous-catégorie :
Articles pour la maison
Source :
Santé Canada
Problème :
Sécurité des produits
Public :
Grand public
Numéro d’identification :
RA-23617

Produits touchés

Stores horizontaux (vénitiens) en similibois et en bois fabriqués par Brite Blinds

Description du produit

Le présent rappel vise les stores horizontaux (vénitiens) à lame de 5 centimètres (2 pouces) ou de 6 centimètres (2,5 pouces). Les produits en similibois ou en bois sont faits sur mesure. Ils sont offerts en diverses tailles et couleurs.

Identification du risque

Le programme de contrôle et d'analyse de Santé Canada a établi que les stores rappelés présentent un risque d'étranglement en raison de l'absence d'arrêts de cordon. Ces derniers sont des mécanismes qui font en sorte que le cordon ne peut être tiré et former une boucle que les jeunes enfants peuvent s'enrouler autour du cou, ce qui présente un risque d'étranglement. De plus, les étiquettes obligatoires ne figurent pas sur le produit.
Aucun incident ni aucune blessure n'ont été signalés à Santé Canada ou à Brite Blinds relativement à l'utilisation de ce produit.
Pour en savoir davantage sur le risque associé à ces produits, consultez la page Risque d'étouffement lié aux cordons de rideaux.

Quantité vendue

Au Canada, environ 60 000 stores rappelés ont été vendus depuis avril 2009.

Période de la vente

Les produits rappelés ont été vendus depuis l'entrée en vigueur du Règlement sur le couvre-fenêtres à cordon en avril 2009 jusqu'en février 2013.
Les couvre-fenêtres à cordon vendus avant 2009 ne sont peut-être pas munis des dispositifs de sécurité, des mises en garde et des directives nécessaires pour éviter que les enfants aient accès aux cordons.

Lieu d’origine

Fabriqués au Canada

Entreprises

Fabricant
Brite Blinds
Burnaby
Colombie-Britannique
CANADA
Images (sélectionner une vignette pour agrandir)
Store vénitien (similibois)
Store vénitien en bois


Ce que vous devrez faire

Les consommateurs doivent immédiatement cesser d'utiliser les stores rappelés et communiquer avec Brite Blinds pour faire réparer le produit.
Pour en savoir davantage, ils peuvent communiquer avec le fabricant en envoyant un courriel à ou en appelant au 1-604-421-5799, du lundi au vendredi, de 8 h à 17 h, heure normale du Pacifique.
Store à rouleau opaque Henle Pro, de Jean H. Henlé
Date de début :
28 février 2013
Date d’affichage :
28 février 2013
Type de communication :
Rappel de produits de consommation
Sous-catégorie :
Articles pour la maison
Source :
Santé Canada
Problème :
Sécurité des produits
Public :
Grand public
Numéro d’identification :
RA-23635
Élargissement du rappel d'août 2010

Produits touchés

Store à rouleau opaque Henle Pro Roller, de Jean H. Henlé

Description du produit

Le présent rappel vise le store à rouleau opaque Henle Pro. Le store est en tissu 100 % polyester. Il est blanc sur ses deux faces, et opacifiant sur sa face antérieure. Sa chaînette est en plastique blanc. Le store est offert en diverses tailles.
Les produits qui suivent sont visés.
Dimensions Numéro de modèleCUP
61cm x 122cm (24" x 48") 8181-24 059173 81814 1
69cm x 122cm (27" x 48") 8181-27 059173 81817 2
76cm x 163cm (30" x 64") 8181-30 059173 81813 4
91cm x 163cm (36" x 64") 8181-36 059173 81816 5
107cm x 163cm (42" x 64") 8181-42 059173 81812 7
122cm x 163cm (48" x 64") 8181-48 059173 81818 9
137cm x 163cm (54" x 64") 8181-54 059173 81815 8
152cm x 163cm (60" x 64") 8181-60 059173 81810 3

Identification du risque

Le programme de contrôle et d'analyse de Santé Canada a établi que la chaînette formant une boucle du store rappelé n'a pas de dispositif de tension. Si la chaînette n'est pas munie de ce dispositif qui la garde bien tendue, un enfant peut se l'enrouler autour du cou, ce qui présente un risque d'étranglement. Le produit ne porte pas non plus les mises en garde bilingues ni l'indication de l'année de fabrication qui devraient y figurer.
Aucun incident ni aucune blessure n'ont été signalés à Santé Canada ou à Jean H. Henle relativement à l'utilisation des stores rappelés.
Pour de plus amples renseignements, consultez la page Risque d'étouffement lié aux cordons de rideaux.

Quantité vendue

Environ 400 stores rappelés ont été vendus au Canada depuis 2010.

Période de la vente

Les produits rappelés ont été vendus de 2010 à février 2013.
Les couvre-fenêtres à cordon vendus avant 2009 pourraient ne pas avoir les dispositifs de sécurité, les mises en garde et les directives nécessaires pour éviter que les enfants aient accès aux cordons.

Lieu d’origine

Fabriqués en Canada

Entreprises

Fabricant
Shanxi Yuehuna Home Plus
CHINE
Importateur
Jean H. Henlé (John H. Henle) inc.
Montreal
Québec
CANADA
Images (sélectionner une vignette pour agrandir)
Store à rouleau opaque Henle Pro Roller


Ce que vous devrez faire

Les consommateurs doivent cesser immédiatement d'utiliser les stores rappelés et les rapporter au magasin où ils les ont achetés pour obtenir un remboursement complet.
Pour de plus amples renseignements, ils peuvent communiquer avec l'importateur, par téléphone au numéro sans frais 1-800-834-0080, de 8 h à 16 h 30 HNE du lundi au vendredi, ou par courriel.
Salubrité des aliments pour les personnes dont le système immunitaire est affaibli
Date de début :
28 février 2013
Date d’affichage :
28 février 2013
Type de communication :
Mise à jour
Sous-catégorie :
Élément microbiologique - Autre
Source :
Santé Canada
Problème :
Salubrité des aliments
Public :
Grand public
Numéro d’identification :
RA-23683

Problème

Santé Canada aimerait rappeler aux Canadiens l’importance de la salubrité des aliments pour les personnes dont le système immunitaire est affaibli.
Quand vous êtes malade, votre système immunitaire peut être affaibli et donc avoir plus de difficulté à combattre les infections. Les patients greffés, les personnes diabétiques, les personnes vivant avec le VIH et certains patients atteints de cancer sont des exemples de personnes dont le système immunitaire peut être affaibli. Il est extrêmement important que les personnes dont le système immunitaire est affaibli évitent de consommer certains aliments afin de réduire leur risque de maladie d’origine alimentaire.
Il y aurait jusqu’à 11 millions de cas de maladies d’origine alimentaire au Canada chaque année, dont la plupart auraient pu être évités grâce à de bonnes habitudes de manipulation et de préparation des aliments.

Ce que vous devrez faire

Les personnes dont le système immunitaire est affaibli et leurs soignants devraient aussi respecter les quatre étapes essentielles de la salubrité des aliments : cuisez, nettoyez, réfrigérez et séparez.
Cuisez – Faites toujours cuire les aliments jusqu’à ce qu’ils atteignent les températures sécuritaires de cuisson interne. Vous pouvez le vérifier en utilisant un thermomètre numérique pour aliments. La couleur seule n’est pas un indicateur fiable que la viande peut être mangée en toute sécurité. La viande peut brunir avant que toutes les bactéries ne soient tuées.
Nettoyez – Nettoyez adéquatement tout ce qui entre en contact avec des aliments (vos mains, les surfaces et les ustensiles de cuisine, les sacs d’épicerie réutilisables, etc.). Le nettoyage permettra d’éliminer les bactéries et de réduire votre risque de maladie d’origine alimentaire. De plus, les fruits et légumes devraient être lavés sous l’eau du robinet si elle est potable.
Réfrigérez – Il est extrêmement important de garder les aliments froids au froid et les aliments chauds au chaud pour éviter qu’ils se trouvent dans la plage des températures dangereuses, soit de 4 °C à 60 °C (de 40 °F à 140 °F). La décongélation de la viande cure, de la volaille crue et du poisson cru doit se faire au réfrigérateur, au four à micro-ondes ou par immersion dans l’eau froide (eau changée toutes les 30 minutes), jamais à la température de la pièce. Les aliments décongelés au four à micro-ondes devraient être cuits immédiatement.
Séparez – Il est important de toujours séparer les aliments crus, comme la viande et les œufs, des aliments prêts à manger, comme la viande cuite et les légumes, afin d’éviter la contamination croisée.
Attention
Une attention particulière devrait aussi être portée aux aliments eux-mêmes. Certains aliments sont associés à un risque plus élevé de maladies d’origine alimentaire que d’autres.
  • Évitez les charcuteries non séchées (comme le bologne, le rosbif et la poitrine de dinde) à moins qu’elles ne soient complètement cuites.
  • Évitez les saucisses à hot dog qui proviennent directement de l’emballage. Assurez vous de faire cuire les hot dogs jusqu’à ce qu’ils soient fumants avant de les manger.
  • Ne mangez pas de viande, de volaille, de poisson ou de fruits de mer crus ou insuffisamment cuits.
  • Évitez les poissons et les fruits de mer fumés réfrigérés.
  • Évitez le lait, le jus et le cidre non pasteurisés.
  • Évitez tous les fromages à pâte molle, qu’ils soient faits de lait non pasteurisé ou de lait pasteurisé, ainsi que les fromages à pâte demi-molle faits de lait cru ou non pasteurisé.
  • Évitez les viandes à tartiner et les pâtés réfrigérés.
  • Évitez les aliments non cuits contenant des œufs crus ou non pasteurisés.
  • Évitez les germes crus comme les germes de luzerne et les germes de soja.


Renseignements aux médias

Santé Canada
613-957-2983

Renseignements au public

613-957-2991
1-866-225-0709
Information supplémentaire

mercredi 27 février 2013


Le Point.fr- Publié le - Modifié le

Après le Mediator et Diane 35, un anti-ulcère largement détourné pour déclencher les accouchements est mis en cause par l'ANSM.

Nouvelle alerte au médicament
Nouvelle alerte au médicament©Sipa/AP
 
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Après le Mediator, les pilules de troisième génération et Diane 35, un nouveau médicament détourné de son usage est mis en cause par l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) : le Cytotec du laboratoire Pfizer Holding France, un traitement prescrit en cas d'ulcère ou de maladie de l'estomac, mais largement utilisé pour déclencher des accouchements ou favoriser l'expulsion du foetus en cas d'avortement ou de fausse-couche. Problème, cette utilisation hors autorisation de mise sur le marché s'avère dangereuse, présentant des risques de rupture de l'utérus, d'hémorragies ou encore d'anomalie du rythme cardiaque du foetus.

Autorisation de mise sur le marché

L'ANSM a mis en garde lundi les professionnels de santé sur les risques liés à une utilisation hors autorisation de mise sur le marché (AMM) de médicaments qui n'ont "pas d'indication prévue dans le déclenchement artificiel du travail" : "Dans le déclenchement de l'accouchement à partir de 37 semaines d'aménorrhée, le recours à des spécialités non autorisées, quelle que soit la voie d'administration, fait courir des risques graves à la mère et à l'enfant", souligne l'ANSM. En effet, "des effets indésirables graves ont été rapportés avec une utilisation de Cytotec dans le déclenchement du travail comme la survenue de rupture utérine, d'hémorragies ou d'anomalies du rythme cardiaque fatal", écrit-elle. Cette mise en garde s'applique également au Gymiso (laboratoire Linepharma France) qui contient la même molécule que le Cytotec et qui ne doit pas être utilisé dans le déclenchement artificiel du travail.
Le Cytotec (nom de la molécule : misoprostol), qui a obtenu en France une AMM en 1986, est actuellement indiqué dans le traitement de l'ulcère gastrique ou duodénal évolutif, des lésions gastro-duodénales induites par les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) ou à titre préventif des lésions gastriques et duodénales et des complications graves induites par les AINS (par exemple l'ibuprofène).

Associations

L'agence sanitaire rappelle en outre que la Haute Autorité de santé (HAS) a publié en avril 2008 des recommandations professionnelles sur le déclenchement artificiel du travail. Elle relève également "qu'en octobre 2005, à la suite de cas mortels survenus aux États-Unis dans une utilisation hors AMM du misoprostol par voie vaginale dans l'interruption volontaire de grossesse (IVG), l'ANSM avait adressé aux prescripteurs une information pour rappeler les conditions d'utilisation et les règles de bon usage de l'association mifépristone/misoprostol dans l'IVG."
L'agence rappelle que tout effet indésirable doit être rapporté au Centre régional de pharmacovigilance (CRPV) dont les coordonnées sont disponibles sur son site internet (www.ansm.sante.fr) et que les patientes peuvent elles-mêmes signaler les effets indésirables, de même que les associations de patients agréées. Une association s'est d'ailleurs créée pour protester contre cet usage du Cytotec (https://timeo-asso.fr/content), pétition à l'appui
Le Point.fr- Publié le - Modifié le

La longue liste des médicaments pointés du doigt pour des effets secondaires évitables ne cesse de s'allonger. C'est grave, docteur ?

L'allopurinol, très efficace en cas de goutte, doit être prescrit selon des critères très stricts.
L'allopurinol, très efficace en cas de goutte, doit être prescrit selon des critères très stricts.© SUPERSTOCK/SUPERSTOCK / SIPA

Par




 

 

ParJuliette Camuzard
Plus de la moitié des effets indésirables graves dus à l'allopurinol, un médicament commercialisé depuis plus de 40 ans pour traiter la goutte, sont actuellement dus à une prescription "non justifiée" de ce traitement. En émettant une nouvelle alerte mardi soir - en même temps qu'une autre concernant le "détournement" d'un médicament contre les ulcères -, l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) fait preuve de transparence. Mais, même si toutes les "affaires" récentes ne se ressemblent pas et même si elles n'ont pas la même gravité, elles confirment bien que le médicament est actuellement en pleine tourmente.
L'allopurinol est notamment indiqué dans le traitement des hyperuricémies (présence anormale d'acide urique dans le sang) provoquant des symptômes, et dans celui de la goutte, rappelle l'ANSM dans son communiqué. Mais ce produit est aussi identifié comme étant "la première cause de toxidermies bulleuses graves (la destruction brutale de la couche superficielle de la peau et des muqueuses) en Europe et l'un des premiers pourvoyeurs de syndromes d'hypersensibilité médicamenteuse".
C'est pourquoi l'Agence avait déjà rappelé la dangerosité de ce traitement en mars, après avoir effectué une analyse rétrospective de ses effets secondaires, recueillis entre janvier 1993 et décembre 1997 par le système national de pharmacovigilance. Elle avait alors fait ajouter au résumé des caractéristiques du produit - destiné aux professionnels de santé -, qui mentionnait déjà ces risques, qu'une attention particulière devait être portée aux personnes souffrant d'insuffisance rénale.

Du bon usage du médicament

Mais la persistance de signalements d'effets indésirables cutanés graves a conduit l'ANSM à analyser à nouveau les observations concernant les effets indésirables qui lui ont été transmises sur une période récente, allant de 2008 à 2010. C'est ainsi qu'elle a découvert que 60 % des cas signalés au cours de ces trois années étaient jugés évitables, du fait d'une indication non justifiée.
"Ces événements surviennent le plus souvent au cours des deux mois suivant l'instauration du traitement, avec parfois une issue fatale", remarque l'Agence dans son bulletin d'alerte. "Par ailleurs, le non-respect des recommandations d'adaptation posologique à la fonction rénale, dans près de la moitié des cas, et une utilisation hors AMM (autorisation de mise sur le marché, NDLR) du médicament ont été observés. 
Il est également noté que la prise en charge de ces complications est souvent retardée, du fait d'une méconnaissance de ce risque par les professionnels de santé.
"
C'est pourquoi l'Agence rappelle aux professionnels de santé la nécessité de respecter les indications de l'allopurinol. Ils sont donc tenus de ne pas en prescrire en cas d'hyperuricémie ne donnant aucun trouble, d'augmenter progressivement la posologie lors de l'instauration du traitement, d'adapter cette dernière à chaque malade, d'informer les patients du risque de survenue de réactions cutanées graves, et ils doivent faire arrêter immédiatement la prise d'allopurinol en cas d'éruption cutanée ou d'autre signe d'hypersensibilité, avant même de consulter. Même si cette démarche est louable, on peut se demander quelle formation (initiale et continue) nos médecins reçoivent concernant le bon usage du médicament...

 
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http://www.lepoint.fr/editos-du-point/anne-jeanblanc/medicament-contre-la-goutte-encore-un-traitement-detourne-27-02-2013-1633621_57.php
Le Point.fr- Publié le


Même si le"spaceTop" est encore au stade de projet, il s'agit d'un "saut quantique" pour le secteur.

L'astuce du SpaceTop, un écran LED et deux caméras, l'une filmant les mains de l'utilisateur et l'autre les yeux pour ajuster la taille de la projection en trois dimensions.
L'astuce du SpaceTop, un écran LED et deux caméras, l'une filmant les mains de l'utilisateur et l'autre les yeux pour ajuster la taille de la projection en trois dimensions.©TED
Source Sipa
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      ParJuliette Camuzard
    L'étudiant du prestigieux Massachusetts Institute of Technology (MIT) Jinha Lee - qui s'était déjà fait remarquer avec sa balle 3D en lévitation - a dévoilé, lors de la conférence annuelle de TED (Technologie, divertissement et design), un ordinateur avec une interface en trois dimensions, rapporte le mensuel américain Wired.
    Après un stage chez Microsoft, l'informaticien a en effet créé une interface qui permet, comme dans "Les Experts", à n'importe qui d'atteindre l'intérieur d'un écran d'ordinateur afin d'attraper les pages internet, les documents et les vidéos comme des objets réels. Pour Wired, même si cet ordinateur est encore au stade de projet, cette technologie est digne d'un "saut quantique, trop rare dans ce secteur".

    Technologie de projection

    L'astuce : un écran LED et deux caméras, l'une filmant les mains de l'utilisateur et l'autre les yeux pour ajuster la taille de la projection en trois dimensions. Jinha Lee a ainsi simplement allié la technologie de projection en trois dimensions, qui existe pour les télévisions, à la technologie de captation des gestes, que propose notamment la Kinect de Xbox. "Une convergence intelligente qui deviendra probablement plus fréquente dans les années à venir", assure Wired, qui voit d'ici les applications chez Apple et Microsoft. Pour Jinha Lee en tout cas, le SpaceTop ne "devrait pas tomber entre les mains des scientifiques. Il devrait être testé par des gens normaux", promet-il.
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    28 février 1927. Babette et Syvette, deux femelles chimpanzés, sont inséminées avec du sperme humain !
    Le Point.fr- Publié le - Modifié le

    Le grand savant soviétique Ilya Ivanov estime possible la création d'un hybride homme-chimpanzé. L'Institut Pasteur lui apporte son soutien.

    28 février 1927. Babette et Syvette, deux femelles chimpanzés, sont inséminées avec du sperme humain !
    Par et

    C'est également arrivé un 28 février



     
     
    Dans leur cage du jardin botanique de Conakry (en Guinée, alors française), deux femelles chimpanzés nommées Babette et Syvette n'en peuvent plus de leur célibat. Hystériques, elles secouent les barreaux de leur cage pour faire comprendre à leurs gardiens qu'elles veulent un mâle, un vrai. Elles donneraient tout pour une bonne petite partie de pattes en l'air. Elles sont prêtes à accepter n'importe quel partenaire. Elles ne vont pas être déçues, les pauvrettes, car, en guise de mâle, elles voient arriver un vieillard à cheveux blancs armé d'une pipette pleine de sperme humain. Pour la première fois au monde - et sans doute pour la dernière fois -, une tentative d'hybridation entre l'homme et le singe est sur le point d'être tentée.
    L'individu qui tente cet improbable mariage inter-espèces n'est ni un détraqué sexuel ni un illuminé. Il s'agit, tout au contraire, d'un savant soviétique de grande renommée. Les travaux d'Ilya Ivanov en matière d'insémination artificielle chez les animaux domestiques font autorité. Avec le sperme d'un seul étalon, il a montré comment féconder plusieurs centaines de juments. Dans son institut soviétique, il a encore réalisé de nombreux hybrides, entre un zèbre et une ânesse (le zébron), entre une vache et une antilope, entre un bison d'Europe et une vache... Un jour, il a une idée de dingue. Pourquoi ne pas essayer de créer un hybride entre l'homme et le chimpanzé ? Après tout, les deux espèces sont relativement proches.

    Fantasme...

    Après avoir caressé l'idée durant plusieurs années, puis l'avoir évoquée lors de plusieurs congrès, Ivanov décide de passer à l'action en 1926. Comme les chimpanzés ne courent pas la taïga russe, il s'adresse à l'Institut Pasteur, qui possède une animalerie à Kindia, en Guinée. Le directeur, Émile Roux, accepte de lui fournir quelques singes. Reste pour Ivanov à convaincre l'administration soviétique de financer son projet. Pas facile. Finalement, Nikolaï Petrovitch Gorbounov, directeur du département des institutions scientifiques, lui fait verser 10 000 dollars américains, somme considérable à l'époque. Si jamais Ivanov parvient à ses fins, quelle victoire pour la science soviétique ! Quant aux rumeurs prétendant que Staline aurait soutenu les travaux d'Ivanov afin de produire une race d'ouvriers ou de soldats mi-hommes mi-singes, elles relèvent du pur fantasme !
    En mars 1926, Ilya Ivanov débarque enfin à Kindia avec l'objectif de sélectionner un chimpanzé femelle pour l'inséminer avec du sperme humain. Premier écueil : l'animalerie de l'Institut Pasteur ne possède pas de guenon mature sexuellement. Après un mois de vaine attente, il lui faut revenir en France, car la saison des pluies empêche toute expédition en forêt pour capturer des singes. Ivanov est de retour en Guinée le 14 novembre, cette fois accompagné par son fils, biochimiste. Les deux Russes décident de ne pas retourner à Kindia, mais de s'installer au jardin botanique de Conakry. Avec l'aide du gouverneur, ils montent une expédition qui leur permet de capturer trois femelles qui sont baptisées Babette et Syvette, et... On n'a pas conservé le nom de la troisième.

    ... et foutaises

    Le père et le fils prennent bien garde de ne pas expliquer aux Africains l'objet de leur recherche. Comme pour la plupart des Européens de l'époque, ils considèrent que les Noirs appartiennent à une race inférieure. Dans une lettre de cette époque, Ilya écrit à un ami : "La grande majorité des nègres sont des gens paresseux et stupides à qui on ne peut pas faire confiance." Mais, surtout, les deux Russes pensent qu'ils pourraient se heurter à un tabou. Ils sont, en effet, persuadés qu'à l'abri de la forêt, il a pu s'accomplir d'une manière plus ou moins consentie des accouplements entre des chimpanzés mâles et des femmes africaines. Mais alors, pourquoi ne voit-on pas de bambins poilus et à longs bras batifoler dans les villages ? Leur explication : "Les femmes violées par des singes sont souillées. Ces femmes font l'objet d'intimidations, comme des parias, elles sont socialement mortes et, comme on me l'a dit, elles disparaissent habituellement." Bref, ils ont peur de voir leur tentative d'insémination entravée par les Africains. D'où leur silence à leur égard.
    Le 28 février 1927, les deux Ivanov décident d'inséminer Babette et Syvette. Qui est le fournisseur de sperme ? Ils ne le précisent pas dans leurs notes. En tout cas, il ne s'agit pas du leur. Le donneur est probablement un Africain, dans la mesure où les deux Soviétiques sont persuadés que le Noir est plus proche que le Blanc du singe. Ces dames ne sont guère coopératives. Elles ne voient pas l'intérêt de faire progresser la science, surtout soviétique. Ilya avait prévu d'enfermer les deux femelles dans une petite cage commandée à Paris, mais elle n'est pas arrivée à temps. Aussi les fait-il immobiliser dans un filet. C'est d'autant plus compliqué que les deux Russes doivent se débrouiller seuls, ne voulant pas se faire aider du personnel africain toujours pour cette histoire de supposé tabou.

    Autopsie

    Babette est la première à passer à la casserole, Ivanov père introduit une pipette remplie de sperme dans son vagin à l'aide d'un miroir. Mais il se répand avant d'avoir pu atteindre l'utérus. Les spermatozoïdes humains se retrouveront-ils dans ce labyrinthe inconnu ? L'un d'eux saura-t-il frapper à la bonne porte et se la faire ouvrir ? Même Ivanov père a des doutes, mais impossible de faire mieux. Difficulté identique avec Syvette. Il n'y a plus qu'à attendre. Les semaines passent. Aucun signe de grossesse. Le 25 juin, la troisième femelle au nom inconnu est inséminée à son tour.
    Pour faciliter la manipulation, l'animal est endormi. L'attente reprend. Cependant, ne pouvant séjourner plus longtemps en Guinée, les Ivanov décident de regagner la France, puis la Russie, en ramenant avec eux les trois femelles et une dizaine d'autres chimpanzés. Au cours de la traversée entre la Guinée et la France, les singes sont malades comme des chiens. Babette et Syvette meurent. Leur autopsie organisée à bord confirme qu'elles ne portent pas d'homme-singe dans leurs flancs. La troisième "mère" meurt également, peu après son arrivée en France. Elle non plus n'est pas enceinte. Grosse déception.
    Finalement, Ilya Ivvanov est de retour en Union soviétique. Il confie ses singes survivants à un centre de recherche dédié aux primates créé à Soukhoumi, sur les bords de la mer Noire. Pour varier les plaisirs, il aurait alors décidé de tenter le croisement inverse. À savoir entre un singe mâle et une femme ! La suite des événements est très floue. Il semblerait qu'en 1929 Ivanov père décroche enfin l'autorisation d'inséminer cinq femmes volontaires. Malheureusement, le dernier mâle détenu par le centre de Soukhoumi vient de mourir. Il semblerait, du reste, que ce n'était pas un de ses chimpanzés, mais un... orang-outang. C'est alors que Gorbounov, le protecteur d'Ivanov, est victime d'une purge stalinienne. Le biologiste est arrêté à son tour le 13 décembre 1930 et meurt quinze mois plus tard, déporté à Alma-Ata, sans avoir mené à bien son grand rêve d'homme-singe. On ne saura donc jamais si l'homme et le singe sont encore capables d'engendrer ensemble après une séparation de 7 millions d'années.
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    CATENA® (idebenone) - Retrait volontaire de CATENA® du marché canadien - Pour les professionnels de la santé
    Date de début :
    27 février 2013
    Date d’affichage :
    27 février 2013
    Type de communication :
    Avis aux professionnels de la santé
    Sous-catégorie :
    Médicaments
    Source :
    Santé Canada
    Problème :
    Retrait du produit
    Public :
    Professionnels de la santé
    Numéro d’identification :
    RA-23509
    La présente est une copie d'une lettre de Santhera Pharmaceuticals Canada Inc. Veuillez communiquer avec la compagnie pour obtenir copie de toute référence, pièce jointe ou annexe.
    Renseignements importants au sujet des avis de Santé Canada

    Renseignements importants approuvés par Santé Canada concernant CATENA® (idebenone)

    27 février 2013
    À l'attention des professionnels de la santé,
    Objet : Retrait du marché canadien de CATENA® (idebenone) pour le traitement de l’ataxie de Friedreich
    Santhera Pharmaceuticals, en consultation avec Santé Canada, vous informe de sa décision de retirer volontairement CATENA® du marché canadien le 30 avril 2013.
    • Santhera Pharmaceuticals retirera CATENA® du marché canadien le 30 avril 2013.
    • Le retrait de CATENA® fait suite à l’issue négative d’études supplémentaires de confirmation d’efficacité demandées par Santé Canada et n’est pas le résultat d’un problème lié à l’innocuité.
    • Il est conseillé aux prescripteurs de discuter de traitements alternatifs avec leurs patients avant le 30 avril 2013.
    CATENA® était autorisé avec conditions au Canada en juillet 2008 résultant du caractère prometteur des preuves cliniques d’efficacité et d’innocuité pour le traitement symptomatique des patients souffrant d'ataxie de Friedreich.
    L’une des conditions de cette autorisation était de procéder à des études de confirmation afin de vérifier les avantages cliniques. Cependant, ces études n’ont pas pu confirmer l’efficacité basée sur le critère d’évaluation primaire.
    Après discussions avec Santé Canada, Santhera a décidé de retirer volontairement CATENA® du marché canadien pour le traitement de l'ataxie de Friedreich.
    Aucun problème d’innocuité du produit n’a engendré cette action, et le retrait du marché ne remet pas en cause la soumission d’une nouvelle demande d’autorisation dans l’avenir.
    Puisqu’il n’y aura pas d’ordonnance remplie après le 30 avril 2013, il est conseillé aux prescripteurs de discuter dès que possible de traitements alternatifs avec leurs patients. CATENA® ne sera pas disponible à travers le programme d’accès spécial de Santé Canada. De plus, Santhera ne rappellera pas les lots de CATENA® prescrits aux patients. De ce fait, les prescripteurs peuvent choisir de permettre à leurs patients de compléter le traitement en place.
    La gestion des effets indésirables liés à un produit de santé commercialisé dépend de leur déclaration par les professionnels de la santé et par les consommateurs. Les taux de déclaration calculés à partir des effets indésirables signalés de façon spontanée après commercialisation des produits de santé sous-estiment généralement les risques associés aux traitements avec ces produits de santé. Tout cas de manifestation indésirable grave ou imprévue chez les patients recevant CATENA® doit être signalé à Santhera ou à Santé Canada.
    Santhera Pharmaceuticals Canada Inc.,
    1501 McGill College Avenue, 26e étage
    Montréal, Québec H3A 3N9
    Tél. 1-877-687-8177
    Pour corriger votre adresse d'envoi ou numéro de télécopieur, veuillez contacter Santhera
    Pour déclarer des effets indésirables soupçonnés d'être associés à des produits de santé, veuillez contacter le Programme Canada Vigilance de Santé Canada:
    Pour d'autres renseignements concernant les produits de santé reliés à cette communication, veuillez contacter Santé Canada à:
    Bureau de cardiologie, allergologie et des sciences neurologiques (BCASN)
    courriel: enquetes_bcasn@hc-sc.gc.ca
    Téléphone: 613-941-1499
    Fax: 613-941-1668
    Ces informations, ainsi qu’un document Questions et Réponses, sont disponibles sur le site web de CATENA® et celui de Santé Canada. Si vous avez des questions ou besoin de plus d’informations, merci de contacter l’Information Médicale de Santhera au 1-877-687-8177.
    Originale signée par
    Thomas Meier
    Chief Executive Officer
    William Richmond
    General Manager, North America
    CATENA® (idebenone) - Retrait volontaire de CATENA® du marché canadien - Pour le public
    Date de début :
    27 février 2013
    Date d’affichage :
    27 février 2013
    Type de communication :
    Communication au public
    Sous-catégorie :
    Médicaments
    Source :
    Santé Canada
    Problème :
    Retrait du produit
    Public :
    Grand public
    Numéro d’identification :
    RA-23519
    La présente est une copie d’une lettre de Santhera Pharmaceuticals Canada Inc. Veuillez communiquer avec la compagnie pour obtenir copie de toute référence, pièce jointe ou annexe.
    Renseignements importants au sujet des avis de Santé Canada

    Communication au Public - Renseignements importants approuvés par Santé Canada concernant CATENA® (idebenone)

    27 février 2013
    Avis aux patients CATENA®,
    Objet : Retrait du marché canadien de CATENA® (idebenone) pour le traitement de l’ataxie de Friedreich
    Santhera Pharmaceuticals, en consultation avec Santé Canada, vous informe que CATENA® ne sera plus disponible au Canada à partir du 30 avril 2013
    • CATENA® sera retiré volontairement du marché à compter du 30 avril 2013.
    • Le retrait de CATENA® fait suite aux résultats d’études supplémentaires qui n’ont pas pu confirmer les bénéfices du produit, mais ce retrait n’est pas lié à un problème d’innocuité.
    • Il est conseillé aux patients ou aides aux patients de contacter leur docteur pour discuter de traitements alternatifs avant le 30 avril 2013.
    CATENA® était originellement autorisé avec conditions au Canada. Cela signifie que Santhera devait conduire d’autres études afin de confirmer que CATENA® était sûr et efficace pour le traitement de l’ataxie de Friedreich. Cependant, les résultats n’ont pas confirmé l’efficacité. Par conséquent, Santhera a accepté de retirer volontairement CATENA® du marché au Canada.
    Aucun problème d’innocuité du produit n’a engendré cette action.
    Si vous prenez CATENA®, veuillez contacter votre docteur et/ou pharmacien pour discuter de votre traitement avant le 30 avril 2013, car il n’y aura plus de prescriptions de ce produit après cette date.
    La gestion des effets indésirables liés à un produit de santé commercialisé dépend de leur déclaration par les professionnels de la santé et par les consommateurs. Les taux de déclaration calculés à partir des effets indésirables signalés de façon spontanée après commercialisation des produits de santé sous-estiment généralement les risques associés aux traitements avec ces produits de santé. Tout cas de manifestation indésirable grave ou imprévue chez les patients recevant CATENA® doit être signalé à Santhera ou à Santé Canada.
    Santhera Pharmaceuticals Canada Inc.,
    1501 McGill College Avenue, 26e étage
    Montréal, Québec H3A 3N9
    Tél. 1-877-687-8177
    • Composez sans frais le 1-866-234-2345
    • Consultez la page Web MedEffet Canada sur la déclaration des effets secondaires pour savoir comment déclarer un effet secondaire en ligne, par courrier ou par télécopieur.
    Pour d'autres renseignements concernant les produits de santé reliés à cette communication, veuillez contacter Santé Canada à:
    Bureau de cardiologie, allergologie et des sciences neurologiques (BCASN)
    courriel: enquetes_bcasn@hc-sc.gc.ca
    Téléphone: 613-941-1499
    Fax: 613-941-1668
    Des informations sont disponibles sur le site web de CATENA® et celui de Santé Canada.
    Si vous avez des questions ou besoin de plus d’informations, merci de contacter l’Information Médicale de Santhera au 1-877-687-8177.
    Originale signée par
    Thomas Meier
    Chief Executive Officer
    William Richmond
    General Manager, North America
    IncivekMC (télaprévir) - Réactions cutanées graves rapportées avec le traitement d'association - Pour le public
    Date de début :
    27 février 2013
    Date d’affichage :
    27 février 2013
    Type de communication :
    Communication au public
    Sous-catégorie :
    Médicaments
    Source :
    Santé Canada
    Problème :
    Renseignements importants en matière d'innocuité
    Public :
    Grand public
    Numéro d’identification :
    RA-23483
    La présente est une copie d’une lettre de Vertex Pharmaceuticals (Canada) Incorporated. Veuillez communiquer avec la compagnie pour obtenir copie de toute référence, pièce jointe ou annexe.
    Renseignements importants au sujet des avis de Santé Canada

    Communication au public - Renseignements importants en matière d’innocuité approuvés par Santé Canada concernant INCIVEKMC (télaprévir)

    Le 27 février 2013
    Objet : Réactions cutanées graves rapportées chez des patients recevant un traitement d’association à base d’INCIVEKMC (télaprévir)
    Vertex Pharmaceuticals (Canada) Incorporated, en collaboration avec Santé Canada, tient à vous transmettre de nouveaux renseignements au sujet de risques liés au traitement d’association à base d’INCIVEKMC (télaprévir). Des réactions cutanées graves ont été signalées chez les patients recevant le traitement d’association à base d’INCIVEKMC. Ces réactions ont nécessité l’hospitalisation des patients et ont parfois mené au décès des patients.
    INCIVEKMC est un médicament d’ordonnance utilisé pour traiter l’hépatite C chronique chez les adultes. Le virus de l’hépatite C infecte le foie et se retrouve également dans le sang. INCIVEKMC n’est pas efficace lorsqu’il est pris seul. Il doit toujours être utilisé avec deux autres médicaments, l’interféron alfa péguylé et la ribavirine.
    • Consultez un médecin immédiatement si vous présentez l’une des réactions cutanées suivantes pendant votre traitement d’association à base d’INCIVEKMC : ampoules ou lésions cutanées, enflure du visage, éruptions cutanées, avec ou sans démangeaisons, aphtes ou ulcères dans la bouche, rougeur ou inflammation des yeux, comme une conjonctivite, ou fièvre, car ces symptômes pourraient être la manifestation d’une réaction cutanée grave.
    • Le médecin décidera si vos éruptions cutanées doivent être traitées ou si vous devez cesser de prendre INCIVEKMC ou tout autre médicament.
    • Vous ne devez pas arrêter votre traitement d’association à base d’INCIVEKMC sans en avoir discuté avec un médecin.
    Vertex Pharmaceuticals (Canada) Incorporated a collaboré avec Santé Canada pour mettre à jour les renseignements d’innocuité sur INCIVEKMC et a envoyé une lettre aux professionnels de la santé pour leur transmettre ces renseignements importants. Vous trouverez une copie de cette lettre sur le site Web de Santé Canada. La monographie révisée d’INCIVEKMC, qui comprend les renseignements à jour pour le consommateur, est publiée sur les sites Web de Santé Canada et de Vertex Pharmaceuticals (Canada) Incorporated.
    Communiquez avec votre médecin si vous avez des questions sur le traitement d’association à base d’INCIVEKMC.
    La gestion des effets indésirables liés à un produit de santé commercialisé dépend de leur déclaration par les professionnels de la santé et les consommateurs. Les taux de déclaration calculés à partir des effets indésirables signalés de façon spontanée après la mise en marché des produits de santé sous-estiment généralement les risques associés aux traitements avec ces produits de santé. Tout cas de réaction cutanée grave ou tout autre effet indésirable grave ou imprévu chez les patients recevant le traitement d’association à base d’INCIVEKMC doit être signalé à Vertex Pharmaceuticals (Canada) Incorporated ou à Santé Canada.
    Vertex Pharmaceuticals (Canada) Incorporated
    275, boul. Armand‑Frappier
    Laval (Québec) H7V 4A7
    Numéro sans frais : 1 877 634‑8789
    Pour déclarer les effets indésirables soupçonnés associés à l’utilisation des produits de santé à Santé Canada :
    • Composez le numéro sans frais 1 866 234‑2345;
    • Consultez la page Web MedEffet Canada sur la déclaration des effets indésirables pour savoir comment déclarer un effet indésirable en ligne, par courrier ou par télécopieur.
    Pour d’autres renseignements concernant les produits de santé reliés à cette communication, veuillez communiquer avec Santé Canada.
    Par courriel : mhpd_dpsc@hc-sc.gc.ca
    Par téléphone : 613 954‑6522
    Par télécopieur : 613 952‑7738
    Sincèrement,
    Original signé par
    Robert S. Kauffman, MD, PhD
    Chief Medical Officer
    VERTEX, le logo triangulaire VERTEX et INCIVEK sont des marques de commerce de Vertex Pharmaceuticals Incorporated, dont l’utilisation au Canada est autorisée par Vertex Pharmaceuticals (Canada) Incorporated.
    Mise en garde de Santé Canada contre les risques des produits contenant de la marihuana synthétique
    Date de début :
    27 février 2013
    Date d’affichage :
    27 février 2013
    Type de communication :
    Avis
    Sous-catégorie :
    Médicaments
    Source :
    Santé Canada
    Problème :
    Renseignements importants en matière d'innocuité, Produits non autorisés
    Public :
    Grand public
    Numéro d’identification :
    RA-23621

    Problème

    Santé Canada met en garde les consommateurs contre les risques que comportent les produits contenant de la « marihuana synthétique » vendus au Canada. Ces produits sont généralement des matières végétales enduites ou recouvertes de cannabinoïdes synthétiques. Ils sont souvent commercialisés comme de l’encens à base d’herbes à fumer, de l’encens exotique à base d’herbes ou un euphorisant légal, ou comme une solution de rechange à la marihuana. Ils seraient fumés par les consommateurs pour leurs effets semblables à ceux du cannabis, même s’il est indiqué sur leur étiquette qu’ils ne sont pas destinés à la consommation humaine.
    Les produits peuvent être vendus par certains dépanneurs, tabagies et head-shops (bazars). Santé Canada déconseille de consommer ces produits, car leurs listes d’ingrédients sont souvent inexactes et ils peuvent avoir des effets néfastes sur la santé. Parmi les effets signalés après la consommation de ces produits, mentionnons notamment la nervosité, l’agitation, des étourdissements, des crises de panique ou d’angoisse, des pertes de mémoire, des psychoses aiguës, des convulsions, un rythme cardiaque rapide ou irrégulier, l’hypertension artérielle, l’essoufflement, des douleurs thoraciques, des variations du taux de glycémie et des niveaux d’électrolytes, des nausées et des vomissements.
    Les produits qui contiennent des préparations synthétiques semblables au cannabis tombent sous le coup de la Loi réglementant certaines drogues et autres substances. Toutes les activités connexes (c.-à-d. production, distribution, importation, exportation, etc.) sont illégales au Canada. Les corps policiers sont autorisés à saisir ces produits aux points d’entrée et à les retirer des commerces de détail.

    Produits touchés

    Voici des exemples de produits à éviter : « IZMS », « Herbal Highs », « Spice », « K2 », « Yucatan Fire », « Earth Impact » et « London Underground ».
    Les consommateurs doivent prendre note que la liste n’est pas définitive, car de nouveaux produits contenant de la « marihuana synthétique » arrivent régulièrement sur le marché.

    Ce que vous devrez faire

    Ne pas acheter ni consommer de produits portant les mentions « synthetic marihuana » (marihuana synthétique), « legal high » (euphorisant légal) sur l’étiquette. La consommation de ces produits peut avoir des effets néfastes sur la santé et est illégale si les produits contiennent des préparations synthétiques semblables au cannabis, qui tombent sous le coup de la Loi réglementant certaines drogues et autres substances.
    Les consommateurs qui ont ces produits en leur possession devraient consulter un avocat pour savoir comment s’en débarrasser adéquatement.

    Personnes touchées

    Toute personne qui possède, produit, vend, importe ou exporte un produit contenant de la « marihuana synthétique ».

    Renseignements aux médias

    Santé Canada
    613-957-2983

    Renseignements au public

    613-957-2991
    1-866-225-0709

    Ce que fait Santé Canada

    Santé Canada continue de travailler avec ses partenaires fédéraux, provinciaux et municipaux, y compris les corps de police, pour recueillir de l’information au sujet des produits contenant de la « marihuana synthétique » et pour s’assurer que les détaillants savent que leur vente est illégale au Canada. Les produits contenant des substances contrôlées peuvent être saisis aux points d’entrée au Canada et retirés des commerces de détail.
    ACIA

    Rappel d'un snack de riz en raison d’un risque d’allergie au gluten

    Agence QMI

    Publié le: | Mise à jour:
    gluten
    Photo Archives / Agence QMI
    Gluten de maïs
    OTTAWA – L’Agence canadienne d’inspection des aliments a rappelé vendredi le snack de riz distribué par UNFI Canada en raison d’une présence de gluten.
    Le produit est vendu au Québec, en Ontario, Nouveau-Brunswick, en Nouvelle-Écosse et au Manitoba
    Budweiser

    Accusée de mettre trop d'eau dans sa bière

    AFP

    Publié le: | Mise à jour:
    budweiser
    Photo Budweiser
    WASHINGTON - La compagnie qui fabrique la très populaire marque américaine de bières Budweiser est accusée de mettre trop d'eau dans ses bouteilles, pour faire plus de bénéfices, selon une plainte collective en justice lancée à San Francisco.
    Les auteurs de la plainte affirment que la compagnie Anheuser-Busch viole les lois protégeant les consommateurs en Californie et dans le Missouri «en étiquetant faussement le contenu en alcool de ses produits».
    La plainte, qui demande des dommages et intérêts à tout acheteur de Budweiser au cours des cinq dernières années, pour un montant non précisé, a été déposée vendredi devant la cour du district de San Francisco.
    «Les grandes compagnies ne doivent pas mentir à leurs clients«, affirme mardi un des auteurs de la plainte, Nina Giampaoli, du cabinet d'avocats Mills Law Firm, «je me sens trompée. Quel que soit le produit, les gens doivent pouvoir avoir des informations fiables des sociétés sur les étiquettes», dit-elle.
    La compagnie Anheuser-Busch, basée à Saint Louis, dans le Missouri, qui fait partie du groupe belgo-brésilien ABInBev, a indiqué dans un communiqué que ces affirmations étaient «complètement fausses».
    «Nos bières respectent complètement les directives concernant les boissons alcoolisées, ce qui fait de nos bières les marques les plus vendues aux États-Unis et dans le monde», ajoute le communiqué à l'AFP.
    Les plaignants affirment qu'en ajoutant trop d'eau à la bière, «un nombre plus grand d'unités peut être produit».
    La plainte affirme que la très populaire Budweiser à 5% d'alcool, est ainsi coupée, comme d'autres marques telles que Bud Ice, Bud Light Platinum et Michelob.


    http://www.journaldequebec.com/2013/02/26/accusee-de-mettre-trop-deau-dans-sa-biere

    OGM : l'Europe impose des études de toxicité sur 90 jours


    Vrai progrès pour les uns, fausse avancée pour les autres : les Etats membres de l'Union européenne (UE) ont décidé d'imposer l'obligation d'études de toxicité sur 90 jours pour toute demande d'importation et de commercialisation d'organismes génétiquement modifiés (OGM) destinés à l'alimentation humaine ou animale. Ce vote, intervenu lundi 25 février, a été confirmé mardi par plusieurs sources européennes. La décision ne va pas changer grand chose dans la réalité.
    La règle en vigueur jusqu'à présent recommandait des tests sur 17 jours mais, dans la pratique, 75 % des demandes présentées par les entreprises étaient déjà accompagnées de tests de toxicité réalisés sur une durée de 90 jours, selon l'Autorité européenne de sécurité des aliments.
    La décision d'imposer des études sur 90 jours a été votée à Bruxelles, dans le cadre d'une réunion d'experts représentant les Etats membres. Vingt Etats, dont la France, ont voté en sa faveur, quatre s'y sont opposés : le Royaume-Uni, la Suède, qui jugent excessive la durée de 90 jours, la Belgique et les Pays-Bas. La décision doit être transformée en règlement par la Commission européenne et être publiée au Journal officiel de l'UE pour entrer en vigueur, probablement au printemps.
    'LE SYSTÈME LE PLUS STRICT AU MONDE'
    'Un règlement, c'est beaucoup plus fort que les seules lignes directrices dont nous disposions jusqu'à présent, affirme Frédéric Vincent, porte-parole du nouveau commissaire européen à la santé, Tonio Borg. L'Union européenne va inscrire dans le marbre le système d'évaluation le plus strict au monde.'
    C'est loin d'être l'avis de la députée européenne Corinne Lepage, qui dénonce une 'évaluation au rabais des risques des OGM'. L'ancienne ministre française de l'environnement, rapporteur du Parlement européen sur le dossier OGM, plaidait pour des études de toxicité sur deux ans, hypothèse qui a été (...)
    http://fr.news.yahoo.com/ogm-leurope-impose-études-toxicité-90-jours-084659442.html;_ylt=AkK6_bR3JIkwFrtq_5IN.En.fcl_;_ylu=X3oDMTQ4aHVhZmR2BG1pdANTZWN0aW9uTGlzdCBGUCBTY2llbmNlcwRwa2cDMmY3YjE5ZjQtNjUzYy0zOGZjLTljYmItYTVhMWFmYzU2YTU0BHBvcwMxBHNlYwNNZWRpYVNlY3Rpb25MaXN0BHZlcgM0M2JkYjdkMS04MGJjLTExZTItOGRmYi0yNzM3MTllMGNmNWU-;_ylg=X3oDMTFsdWZmZHBzBGludGwDZnIEbGFuZwNmci1mcgRwc3RhaWQDBHBzdGNhdANhY2N1ZWlsBHB0A3NlY3Rpb25z;_ylv=3


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    Que 90! jours j'espere qu'ils trouveront quelques chose cette fois ci ..
    News Santé
    • La malbouffe aurait des conséquences néfastes sur le sperme et la fécondité
    • Jasmin Merdan - Fotolia.com

    La malbouffe aurait des conséquences néfastes sur le sperme et la fécondité

    Mis à jour le Mardi 25 Octobre 2011

    Une étude américano-espagnole montre que les jeunes hommes en bonne santé qui consomment des aliments frits et industriels en très grande quantité peuvent mettre à mal leur fécondité.

    Pour les besoins de l'étude, des chercheurs de l'Université de Harvard et de celle de Murcie en Espagne ont demandé à un panel d'hommes âgés de 18 à 22 ans de noter dans un carnet tout ce qu'ils consommaient pendant plusieurs mois.
    Après analyse de leurs carnets alimentaires et de leur sperme, les médecins sont arrivés à la conclusion que les hommes très gros consommateurs d'aliments gras et sucrés comme les cookies, les gâteaux, le chocolat, les chips, les fritures et les aliments industriels disposaient d'un sperme de moindre qualité. Des spermatozoïdes moins nombreux et moins rigoureux, donc un taux de fécondité beaucoup plus bas.
    En revanche, les hommes à l’alimentation équilibrée à base de céréales complètes, de légumes et de poisson avaient un sperme de bien meilleure qualité. Parmi les aliments qui doperaient la fécondité masculine, on note les oeufs, le saumon, les yaourts nature, les graines (céréales complètes), les baies (grenade, myrtilles), les patates douces, le brocoli et les asperges.
    Les autres causes de l’infertilité masculine
    Un certain nombre de substances altèrent la fertilité chez l’homme. Parmi celles-ci il existe des produits aussi différents que le plomb, les haloalcanes, certains dérivés minéraux comme le cadmium (présent dans la cigarette) ou organiques comme les éthers de glycol (souvent associés à d’autres solvants) ou le benzopyrène (hydrocarbure aromatique carcinogène résultant en particulier de la combustion de cigarette). En résume, les produits les plus toxiques sont la cigarette, les drogues et l’alcool consommés en grande quantité.
    Les perturbateurs endocriniens
    Les perturbateurs endocriniens sont aussi montrés du doigt. Ces derniers sont des substances chimiques, d’origine naturelle ou synthétique, qui perturbent le fonctionnement hormonal. Sous certaines doses ou fréquences d’exposition, ils peuvent altérer la fonction de reproduction. Attention au PCB (polychlorobiphényls), aux dioxines, aux phtalates et aux pesticides organo-chlorés.
    Les phtalates sont le polluant d’origine humaine le plus abondant présents dans les plastiques, certains cosmétiques, emballages alimentaires...Ce n'est pas le produit lui-même mais la dose qui fait le poison