Conflit syrien
Harper critique ouvertement Poutine
Première publication 16 juin 2013 à 21h50
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Crédit photo : archives, Reuters
Le premier ministre Stephen Harper a ouvertement critiqué le président Vladimir Poutine
Agence QMI
Le premier ministre Stephen Harper a ouvertement critiqué le président de la Russie, dimanche, concernant son appui au régime de Bachar Al Assad en Syrie.
«Vladimir Poutine et son gouvernement ont appuyé les voyous du régime Assad pour leurs propres raisons qui ne sont pas justifiables à mes yeux, et M. Poutine connaît mon opinion à ce sujet», a dit le premier ministre conservateur à Dublin, en marge du sommet du G8 qui s'ouvre lundi en Irlande du Nord.
Stephen Harper a mentionné qu'il ne croyait pas possible un terrain d'entente entre la Russie et les autres pays occidentaux, qui exigent le départ de Bachar Al Assad, concernant la Syrie à la rencontre du G8.
«À moins d'un grand changement de position de la part de Vladimir Poutine, nous n'allons pas avoir une position commune avec lui au sommet», a ajouté le premier ministre fédéral.
Il a précisé que le Canada ne comptait pas livrer d'armes aux rebelles syriens. Il s'est dit préoccupé par des «éléments extrémistes» au sein des rebelles.
Les États-Unis ont déjà annoncé qu'ils allaient fournir des armes légères aux rebelles puisque Bachar Al Assad avait eu recours à des armes chimiques contre eux.
Le président russe Vladimir Poutine a de nouveau critiqué dimanche les pays qui veulent armer les rebelles.
«On ne peut pas appuyer des gens qui non seulement tuent leurs ennemis, mais mangent aussi leurs entrailles en public et devant les caméras», a dit M. Poutine en parlant des rebelles, lors d'une conférence de presse à Londres à la suite d'un entretien avec le premier ministre britannique David Cameron.
«Vladimir Poutine et son gouvernement ont appuyé les voyous du régime Assad pour leurs propres raisons qui ne sont pas justifiables à mes yeux, et M. Poutine connaît mon opinion à ce sujet», a dit le premier ministre conservateur à Dublin, en marge du sommet du G8 qui s'ouvre lundi en Irlande du Nord.
Stephen Harper a mentionné qu'il ne croyait pas possible un terrain d'entente entre la Russie et les autres pays occidentaux, qui exigent le départ de Bachar Al Assad, concernant la Syrie à la rencontre du G8.
«À moins d'un grand changement de position de la part de Vladimir Poutine, nous n'allons pas avoir une position commune avec lui au sommet», a ajouté le premier ministre fédéral.
Il a précisé que le Canada ne comptait pas livrer d'armes aux rebelles syriens. Il s'est dit préoccupé par des «éléments extrémistes» au sein des rebelles.
Les États-Unis ont déjà annoncé qu'ils allaient fournir des armes légères aux rebelles puisque Bachar Al Assad avait eu recours à des armes chimiques contre eux.
Le président russe Vladimir Poutine a de nouveau critiqué dimanche les pays qui veulent armer les rebelles.
«On ne peut pas appuyer des gens qui non seulement tuent leurs ennemis, mais mangent aussi leurs entrailles en public et devant les caméras», a dit M. Poutine en parlant des rebelles, lors d'une conférence de presse à Londres à la suite d'un entretien avec le premier ministre britannique David Cameron.
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