Événements écoresponsables
Montréal donne l'exemple
Première publication 24 mai 2013 à 16h58
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Crédit photo : archives, Agence QMI I
Le Festival de Jazz...écoresponsable
Par Étienne Laberge | Agence QMI
La ville de Montréal devient la première ville au Québec dont les pratiques de gestion responsable d'événements sont certifiées par le Bureau de normalisation du Québec (BNQ).
«Le fait de devenir un organisateur d'événements écoresponsables est un engagement du Plan de développement durable de la collectivité montréalaise 2010-2015, a déclaré Josée Duplessis, responsable de l'environnement au comité exécutif. Mais notre souhait est d'aller plus loin. Nous voulons faire de Montréal un chef de file en matière de gestion responsable d'événements.»
La norme BNQ vise à minimiser l'impact environnemental causé par l'organisation d'un événement d'envergure, comme le Festival international de Jazz ou encore les Francofolies, tout en augmentant les retombées économiques et sociales dans le milieu.
Elle établit ces impacts notamment par la gestion du matériel, des sources d'énergie et de l'eau, la gestion des matières résiduels et la sélection de l'alimentation.
C'est Espace pour la vie qui ouvrira le bal dans la métropole avec la classification du Rendez-vous horticole au Jardin botanique qui a lieu cette fin de semaine.
La Ville souhaite également sensibiliser les promoteurs tenant des événements sur le domaine public à adopter des critères de développement durable pour les festivals et événements montréalais et espère que sa démarche pour ses propres événements servira d'exemple.
«Le fait de devenir un organisateur d'événements écoresponsables est un engagement du Plan de développement durable de la collectivité montréalaise 2010-2015, a déclaré Josée Duplessis, responsable de l'environnement au comité exécutif. Mais notre souhait est d'aller plus loin. Nous voulons faire de Montréal un chef de file en matière de gestion responsable d'événements.»
La norme BNQ vise à minimiser l'impact environnemental causé par l'organisation d'un événement d'envergure, comme le Festival international de Jazz ou encore les Francofolies, tout en augmentant les retombées économiques et sociales dans le milieu.
Elle établit ces impacts notamment par la gestion du matériel, des sources d'énergie et de l'eau, la gestion des matières résiduels et la sélection de l'alimentation.
Une première au Québec
Créée en 2010 et s'adressant d'abord au secteur privé, aucune ville ne s'était revendiquée de l'application d'une telle norme avant aujourd'hui.C'est Espace pour la vie qui ouvrira le bal dans la métropole avec la classification du Rendez-vous horticole au Jardin botanique qui a lieu cette fin de semaine.
La Ville souhaite également sensibiliser les promoteurs tenant des événements sur le domaine public à adopter des critères de développement durable pour les festivals et événements montréalais et espère que sa démarche pour ses propres événements servira d'exemple.
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