Une Française arrêtée
25 personnes à tuer avec une arme médiévale
Première publication 24 mai 2013 à 07h11
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Crédit photo : Archives TVA Nouvelles
TVA Nouvelles selon AFP
Une femme de 28 ans, qui avait établi une liste de 25 personnes à tuer, a été interpellée dans le sud de la France, après avoir frappé l'une d'entre elles, une adolescente, avec une réplique d'arme médiévale, a-t-on appris vendredi de sources policières.
L'étudiante de 12 ans a été agressée lundi, alors qu'elle se rendait à l'école. Sa description de l'arme utilisée, confirmée par un témoin, a conduit les enquêteurs à identifier à une arme médiévale, composée d'un manche relié par une chaîne à une boule hérissée de clous.
Selon l'enquête, la femme souffrirait de troubles psychiatriques et son père, collectionneur d'armes, avait signalé la disparition de quelque-unes de ses pièces. Il avait ajouté avoir trouvé une liste de 25 noms établie par sa fille avec l'intention de les tuer, d'après des informations du quotidien Le Parisien.
Interrogée à son tour mercredi à son domicile, la femme a confirmé avoir voulu tuer ces 25 personnes, car «toutes (leurs) pensées lui arrivaient dans la tête».
Ces personnes ont pour point commun d'être servies par un même centre de poste de la région, où la suspecte a travaillé comme manutentionnaire avant d'être renvoyée il y a un an.
Considérée comme «très dangereuse» d'après les autorités, la suspecte a fait l'objet d'une mesure d'hospitalisation d'office
L'étudiante de 12 ans a été agressée lundi, alors qu'elle se rendait à l'école. Sa description de l'arme utilisée, confirmée par un témoin, a conduit les enquêteurs à identifier à une arme médiévale, composée d'un manche relié par une chaîne à une boule hérissée de clous.
Selon l'enquête, la femme souffrirait de troubles psychiatriques et son père, collectionneur d'armes, avait signalé la disparition de quelque-unes de ses pièces. Il avait ajouté avoir trouvé une liste de 25 noms établie par sa fille avec l'intention de les tuer, d'après des informations du quotidien Le Parisien.
Interrogée à son tour mercredi à son domicile, la femme a confirmé avoir voulu tuer ces 25 personnes, car «toutes (leurs) pensées lui arrivaient dans la tête».
Ces personnes ont pour point commun d'être servies par un même centre de poste de la région, où la suspecte a travaillé comme manutentionnaire avant d'être renvoyée il y a un an.
Considérée comme «très dangereuse» d'après les autorités, la suspecte a fait l'objet d'une mesure d'hospitalisation d'office
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