Cuisines collectives
iögo offre tout un coup de pouce!
Première publication 4 avril 2013 à 15h50
Par Anne Préfontaine | TVA Sherbrooke
Le fabricant de yogourt iögo de Granby vient de lancer un programme d'appui fort important aux cuisines collectives. Il s'agit évidemment d'un coup de marketing; n'empêche, des centaines, voire des milliers de personnes en bénéficieront.
«Les cuisines collectives sont ma deuxième famille», insiste une maman. Des plats sains et économiques, voilà deux des valeurs qui guident les cuisines collectives. Mère de quatre enfants, Mélanie Couillard a fait connaissance avec les cuisines collectives il y un peu plus d'un an. «On se met en gang, on achète en grosse quantité. Ça revient à environ 75 sous la portion. On repart avec ce qu'on a besoin. On achète toujours les aliments en promotion.»
Pendant que les mamans cuisinent, les enfants sont au service de garde, situé dans le même bâtiment que la cuisine collective. Le chef Daniel Vézina a décidé de s'impliquer pour faire connaître les cuisines collectives; le Québec en compte 1300. «Ça n'a pas besoin de coûter cher pour que ça soit bon. Il faut juste avoir de bonnes techniques. Acheter des produits en promotion. Tu peux faire des miracles, des chefs d'œuvre avec une pomme de terre, une carotte et des poireaux.»
Publicité, contributions financières et alimentaires, le fabricant de yogourt iögo a aussi mis en place un programme de bénévolat pour ses employés. L'aide de iögo est très ben accueillie par les cuisines collectives. «C'est un service méconnu où certains pensent que c'est pour les gens défavorisés, mais c'est vraiment pour tout le monde!» De la jeune maman au veuf en passant par les immigrants, les cuisines collectives réunissent des gens de tous les milieux.
«Les cuisines collectives sont ma deuxième famille», insiste une maman. Des plats sains et économiques, voilà deux des valeurs qui guident les cuisines collectives. Mère de quatre enfants, Mélanie Couillard a fait connaissance avec les cuisines collectives il y un peu plus d'un an. «On se met en gang, on achète en grosse quantité. Ça revient à environ 75 sous la portion. On repart avec ce qu'on a besoin. On achète toujours les aliments en promotion.»
Pendant que les mamans cuisinent, les enfants sont au service de garde, situé dans le même bâtiment que la cuisine collective. Le chef Daniel Vézina a décidé de s'impliquer pour faire connaître les cuisines collectives; le Québec en compte 1300. «Ça n'a pas besoin de coûter cher pour que ça soit bon. Il faut juste avoir de bonnes techniques. Acheter des produits en promotion. Tu peux faire des miracles, des chefs d'œuvre avec une pomme de terre, une carotte et des poireaux.»
Publicité, contributions financières et alimentaires, le fabricant de yogourt iögo a aussi mis en place un programme de bénévolat pour ses employés. L'aide de iögo est très ben accueillie par les cuisines collectives. «C'est un service méconnu où certains pensent que c'est pour les gens défavorisés, mais c'est vraiment pour tout le monde!» De la jeune maman au veuf en passant par les immigrants, les cuisines collectives réunissent des gens de tous les milieux.
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