Effondrement en France
Trois morts, une dizaine de blessés
Première publication 28 avril 2013 à 14h41
TVA Nouvelles
Dans la ville de Reims, en France, une partie d'une habitation à loyer modique (HLM) de cinq étages s'est effondrée vers 11h30 ce matin, heure locale. Le bilan provisoire fait état de trois morts et une quinzaine de blessés. Toutefois, des personnes manquent toujours à l'appel et pourraient se trouver dans les décombres. Une centaine de secouristes s'affairent à trouver des survivants.
La déflagration a été si forte qu'elle a été entendue à plusieurs kilomètres à la ronde. Les édifices environnants ont d'ailleurs été évacués par mesure préventive.
(AFP)
«On est arrivé sur les lieux du drame. 30 secondes après, un monsieur qui agonisait qui nous suppliait de l'aider. On voyait en dessous de lui une dalle de béton avec un enfant qui tendait le bras», explique Abdel Kader, un témoin.
Selon lui, l'intervention des pompiers a été beaucoup trop longue.
«Les pompiers sont venus au bout de 20 minutes, une demi-heure. Pourtant ils sont à 500 mètres», a-t-il ajouté.
(AFP)
Adeline Hazan, la mairesse de Reims, s'est rendue sur place pour constater les dégâts et offrir son soutien aux quelques 75 habitants qui ont perdu leur domicile. Ces derniers ont été pris en charge par la Croix-Rouge et sont temporairement logés dans un hôtel à proximité. Une aide psychologique leur est offerte.
Le président français François Hollande a adressé ses condoléances aux familles par la voie d'un communiqué officiel.
Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de l'explosion, mais selon les premières observations, une fuite de gaz serait à l'origine de l'effondrement de l'immeuble. Si cela s'avère exact, ce sera donc le deuxième événement semblable à se produire en seulement quelques semaines. Le 3 avril dernier, quatre personnes d'une même famille avaient été tuées et une cinquième avait été très grièvement blessée dans une explosion qui avait ravagé leur immeuble HLM, situé à une dizaine de kilomètres de Reims.
La France doit composer avec plusieurs citoyens qui critiquent les normes d'entretien des immeubles, qu'ils jugent trop clémentes. Ce tragique événement leur donnera quelques arguments de plus. S'il s'avérait que les propriétaires ont fait preuve de négligence, des accusations criminelles pourraient être portées contre eux.
(AFP)
La déflagration a été si forte qu'elle a été entendue à plusieurs kilomètres à la ronde. Les édifices environnants ont d'ailleurs été évacués par mesure préventive.
(AFP)«On est arrivé sur les lieux du drame. 30 secondes après, un monsieur qui agonisait qui nous suppliait de l'aider. On voyait en dessous de lui une dalle de béton avec un enfant qui tendait le bras», explique Abdel Kader, un témoin.
Selon lui, l'intervention des pompiers a été beaucoup trop longue.
«Les pompiers sont venus au bout de 20 minutes, une demi-heure. Pourtant ils sont à 500 mètres», a-t-il ajouté.
(AFP)Adeline Hazan, la mairesse de Reims, s'est rendue sur place pour constater les dégâts et offrir son soutien aux quelques 75 habitants qui ont perdu leur domicile. Ces derniers ont été pris en charge par la Croix-Rouge et sont temporairement logés dans un hôtel à proximité. Une aide psychologique leur est offerte.
Le président français François Hollande a adressé ses condoléances aux familles par la voie d'un communiqué officiel.
Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de l'explosion, mais selon les premières observations, une fuite de gaz serait à l'origine de l'effondrement de l'immeuble. Si cela s'avère exact, ce sera donc le deuxième événement semblable à se produire en seulement quelques semaines. Le 3 avril dernier, quatre personnes d'une même famille avaient été tuées et une cinquième avait été très grièvement blessée dans une explosion qui avait ravagé leur immeuble HLM, situé à une dizaine de kilomètres de Reims.
La France doit composer avec plusieurs citoyens qui critiquent les normes d'entretien des immeubles, qu'ils jugent trop clémentes. Ce tragique événement leur donnera quelques arguments de plus. S'il s'avérait que les propriétaires ont fait preuve de négligence, des accusations criminelles pourraient être portées contre eux.
(AFP)
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