Douleur chronique
Il vaut mieux éviter le stress
Première publication 25 février 2013 à 12h24
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Crédit photo : Archives TVA Nouvelles
Agence QMI
Les personnes aux prises avec la douleur chronique, notamment à la suite d'un accident, feraient mieux d'éviter le stress, selon une étude menée par des chercheurs de l'Université de Montréal.
L'étude, récemment publiée dans la revue Brain de l'Oxford University Press, indique que les personnes qui souffrent de douleur chronique vont voir celle-ci augmenter en période de stress.
Le stress est aussi parfois induit par la douleur elle-même, ou l'appréhension de son apparition.
Les chercheurs ont également découvert que les personnes dont l'hippocampe est plus petit sont plus susceptibles de souffrir des contrecoups du stress en période de douleur.
L'hippocampe est une structure du cerveau, située sous le cortex, qui joue un rôle dans les processus de mémorisation, la navigation dans l'espace et l'inhibition du comportement.
Selon l'étude, un hippocampe de petit volume est associé à un plus haut taux de cortisol (une hormone sécrétée en période de stress), ce qui amène une vulnérabilité accrue à la douleur et augmenterait le risque de développer une chronicité de cette douleur.
«L'intérêt de ces résultats est qu'ils donnent des pistes aux gens aux prises avec de la douleur pour en diminuer l'impact et peut-être en éviter la chronicité», explique le Dr Pierre Rainville, auteur de l'étude.
«En effet, en complément à leur traitement médical, les personnes souffrant de douleur peuvent travailler sur leur gestion du stress et leur peur de la douleur avec l'aide d'un psychologue et par divers moyens comme la relaxation ou la méditation.»
Un groupe de 16 personnes atteintes de lombalgie chronique et un autre de 18 personnes sans douleur ont participé à la recherche. Des rapports ont été établis entre le taux de cortisol relevé dans la salive des sujets, leur perception de la douleur, la taille de leur hippocampe (obtenue par imagerie par résonnance magnétique) et la réaction du cerveau en période de douleur.
http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/national/archives/2013/02/20130225-122410.html
L'étude, récemment publiée dans la revue Brain de l'Oxford University Press, indique que les personnes qui souffrent de douleur chronique vont voir celle-ci augmenter en période de stress.
Le stress est aussi parfois induit par la douleur elle-même, ou l'appréhension de son apparition.
Les chercheurs ont également découvert que les personnes dont l'hippocampe est plus petit sont plus susceptibles de souffrir des contrecoups du stress en période de douleur.
L'hippocampe est une structure du cerveau, située sous le cortex, qui joue un rôle dans les processus de mémorisation, la navigation dans l'espace et l'inhibition du comportement.
Selon l'étude, un hippocampe de petit volume est associé à un plus haut taux de cortisol (une hormone sécrétée en période de stress), ce qui amène une vulnérabilité accrue à la douleur et augmenterait le risque de développer une chronicité de cette douleur.
«L'intérêt de ces résultats est qu'ils donnent des pistes aux gens aux prises avec de la douleur pour en diminuer l'impact et peut-être en éviter la chronicité», explique le Dr Pierre Rainville, auteur de l'étude.
«En effet, en complément à leur traitement médical, les personnes souffrant de douleur peuvent travailler sur leur gestion du stress et leur peur de la douleur avec l'aide d'un psychologue et par divers moyens comme la relaxation ou la méditation.»
Un groupe de 16 personnes atteintes de lombalgie chronique et un autre de 18 personnes sans douleur ont participé à la recherche. Des rapports ont été établis entre le taux de cortisol relevé dans la salive des sujets, leur perception de la douleur, la taille de leur hippocampe (obtenue par imagerie par résonnance magnétique) et la réaction du cerveau en période de douleur.
http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/national/archives/2013/02/20130225-122410.html
http://zenitchy.blogspot.ca/
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